Intro : ZenGrowth est mort, vive Lea*

Après quelques semaines de bêta-test intensif, nous savons désormais précisément ce dont les entrepreneurs et les agences ont besoin sur LinkedIn.

Nous allons lancer la version la plus aboutie des logiciels sur le marché, pour engager sa communauté LinkedIn.

Plus de 150 personnes sont déjà inscrites, et Lea incarnera notre vision de ce que devrait être un compte LinkedIn :

- Un espace pour partager votre expertise, promouvoir vos services et offrir le meilleur à votre audience.

- Un levier, pas un poids : publier des posts et répondre aux commentaires devrait être simple et même agréable.

- Un canal d’acquisition où vos clients idéaux peuvent vous trouver facilement.

- Un moyen de rayonner sans vous soucier de la stratégie de publication — ça, c’est notre travail.

- Un assistant qui respecte votre positionnement, vos opinions et ne trahit jamais votre humanité.

📅 Lancement prévu fin août.
Inscrivez-vous dès maintenant : https://zengrowth/meet-lea

Je mobilise toutes mes ressources pour créer le meilleur assistant LinkedIn du marché.

Nous construirons en public jusqu’au lancement officiel et partagerons chaque jour les avancées de Lea.

Stay tuned.
Lea is coming.

Épisode 1 : Ils n’ont même pas cliqué

Ils n’ont même pas cliqué.

J’ai passé des mois à peaufiner la puissance de ZenGrowth.

L’algo tournait. Les fonctionnalités étaient là. L’ambition aussi.

Mais j’avais négligé une chose : l’interface.

Je me disais : c’est une bêta, les gens comprendront.

Spoiler : non.

On a onboardé plus de 30 entrepreneurs.

Quand je leur pitchais le produit, leurs yeux brillaient.

Mais quand ils le voyaient… ils se refermaient.

Ils fronçaient les sourcils.

Leur enthousiasme retombait comme un soufflé.

Ils ne disaient rien, mais je voyais tout.

Et surtout, ils n’essayaient même pas.

- Trop complexe.

- Interface trop brute.

- Expérience utilisateur décourageante.

Là, on a compris. Et on a décidé de faire un 180°.

On repart de zéro.

On va transformer cette machine de guerre en outil simple, humain, évident.

Premier chantier : l’identité.

Lea, c’est un outil pour les humains. Pas pour les robots.

Même le logo devrait raconter ça.

Mon cofondateur me dit :

« Tu te souviens de la meuf à lunettes ? »

On était tombés sur le branding de Lusha.

Une petite illustration. Fun. Sympa.

Et on s’est dit : ça, c’est la bonne vibe.

On s’en est inspiré.

Et aujourd’hui, notre logo raconte déjà une partie de cette histoire.

Celle d’un outil conçu pour toi, pas contre toi.

Le plus dur n’est pas de pivoter.

Le plus dur, c’est de reconnaître qu’il faut le faire.

Épisode 2 : “La pignolerie va payer.”

“La pignolerie va payer.”

Fred claque son ordi, Figma encore ouvert sur l’écran, et je sais qu’on vient de signer pour une nouvelle nuit blanche.

Chez la plupart des boîtes, “pignoler” c’est un gros mot : on pousse le pixel, on rajoute la feature shiny du client insomniaque, on déplace ce foutu bouton de trois millimètres… et on se fait engueuler par la roadmap.

Mais dans notre histoire, la pignolerie n’est pas un luxe : c’est notre plan de bataille.

Alors on joue ce rôle à plein temps.

Le client qui revient 15 fois sur des détails.

Le client qui zoom à 500 % pour voir si l’icône est vraiment centrée.

(Spoiler : elle ne l’est jamais.)

Chaque nuit jusqu’à 2 h du mat’ on tourne la même scène :

- Comment on simplifie ?

- Comment on rend ça évident ?

- Quelle étape on peut carrément enlever ?

On a screenshoté la moitié du marché.

On a disséqué leurs micro-interactions, compté leurs clics, mesuré leurs marges.

Lea nous fera passer très vite de néophyte de l'UX à pignoleur en chef.

Grade ultime parmi les designer à col roulé.

Mais c'est ce dont Lea a besoin.

Pourquoi on s’inflige ça ?

Parce qu’on construit pour les gens qui n’ont pas de temps à gaspiller.

Parce que chaque clic évité, c’est une micro-douleur qu’on retire de leur journée.

Parce que penser l’interface à leur place, c’est le plus beau cadeau qu’on puisse leur faire.

La pignolerie n’est pas un travers : c’est une preuve d’amour.

Si, dans quelques mois, vous ne notez même pas que tel bouton est “un peu plus à droite”, alors on aura gagné.

Vous serez trop occupé à régler vos vrais problèmes pour remarquer qu’on a pensé à tout à votre place.

Et ça, croyez-nous, ça valait bien quelques nuits blanches.

Épisode 3 : no pain, no Gantt

15 ans que je n’avais pas ouvert Excel* pour tracer un Gantt.

Mais pour Lea, j’ai enfin le luxe de prendre le temps d’aller au bout des choses.

Pourquoi ce Gantt ?

Parce qu’avoir des ressources… c’est devoir les optimiser.

Et parce qu’en août, tout doit être prêt : pas le droit à l’impro.

Le déclic.

J’ai tout couché sur papier (👋 Notion) :

• tâches, dépendances, coûts, dates butoirs

• qui fait quoi, quand et dans quel ordre

• et surtout : pourquoi on le fait

Résultat : un joli diagramme (tu peux le voir ci-dessus) où Paul et Dev 2 se partagent le terrain comme dans un relais.

(Dev 2 est un élément hors pair mais très mystérieux)

Ce que j’ai (re)découvert en sortant ce bon vieux Gantt

• Travailler en équipe ≠ être solopreneur

• Avant, c’était simple : moi d’un côté, mon audience de l’autre.

• Maintenant, si je ne matérialise pas ma vision, personne ne peut la lire dans ma tête.

Planifier, c’est libérer la charge mentale

Un plan clair = zéro ambiguïté.

Chacun sait où il va, et pourquoi il y va.

Évidemment, ce plan ne sera pas respecté.

Rien ne se passe exactement comme prévu.

Et c’est OK.

Mais lorsque tout est écrit, on peut ajuster sans repartir de zéro.

La morale :

- Ce qui tourne en rond dans ta tête te freine.

- Ce qui est écrit devient actionnable.

C’est mon 4ᵉ SaaS, mais le premier où je ne suis plus seul à bord.

Je pensais que l’expérience me ferait gagner du temps.

En réalité, c’est la structuration qui me le rend.

Et toi, tu planifies comment tes lancements ?

* J'ai triché, j'ai fais un script en Python. Jamais ne toucherai à excel 😂

Épisode 4 : “40 000 flux RSS, t’abuse Paul 😂😂 “

(Dixit Fred)

La curation de sources est importante dans la création de contenu.

C'est pour ça que je suis en train de classer plus de 40 000 flux RSS à la main.

Enfin… avec un peu d’IA.

(Ça va quand même prendre 80+ heures)

Pourquoi je fais ça ?

Parce que je veux que, dès qu’un utilisateur arrive dans Lea, l’IA sélectionne les sources d'information qui vont compter vraiment pour lui.

→ Celles qui vont nourrir sa stratégie de communication

→ Qui résonnent avec ses convictions

→ Qui intéressent son audience

Pas juste des news. Pas juste du contenu frais.

Mais des articles de fond, des prises de position, des signaux faibles.

Et surtout : pas de sources qui vont frontalement à l’encontre de ses idées.

Je sais, ça peut ressembler à une bulle algorithmique.

Mais mon objectif n’est pas d’enfermer les gens dans un écho.

C’est de leur permettre d’écrire des posts puissants, alignés avec leur pensée.

Pas des trucs tièdes.

Des sources dans leur sujet d'expertise qui vont réellement lui apporter de la valeur.

À lui et à son audience.

Concrètement ?

→ J’analyse la ligne éditoriale de chaque source

→ Je caractérise leur opinions vis-à-vis de différents sujets

→ Je pourrais les comparer avec les prises de position de l’utilisateur

Objectif : que Lea sache si "ce média va l’inspirer" ou "celui-ci va l’agacer", sans que l'utilisateur ait à configurer quelque chose.

J’avais commencé à esquisser cette fonctionnalité dans ZenGrowth.

Mais je n’étais pas allé jusqu’au bout.

Cette fois, je vais le faire.

Parce que cette fonctionnalité, je la veux dès le jour 1.

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Tu l’auras compris, la newsletter se transforme en même temps que moi. Je fais maintenant du build in public.

Je te dis, prends soin de toi, et à bientôt.